Kapten Business devient FREE NOW for Business

Fin septembre 2020, Kapten, l’un des leaders européens du VTC rejoint FREE NOW, l’application multimodale #1 née du rapprochement entre Daimler et BMW en mars 2019.

Avec plus de 26 millions d’utilisateurs et 250 000 chauffeurs FREE NOW est l’une des applications de mobilité les plus appréciées d’Europe et met en relation passagers et chauffeurs dans plus de 100 villes et 10 pays (Londres, Berlin, Dublin, Barcelone, Madrid, Rome… et bien d’autres) tout en proposant une offre variée de micro-mobilité en fonction des pays. La France n’est pas en reste avec l’arrivée des vélos électriques Bond prochainement.

FREE NOW c’est aussi FREE NOW for Business (ex- Kapten Business), la solution VTC sur-mesure pour simplifier la gestion quotidienne des déplacements professionnels des collaborateurs en entreprise. FREE NOW for Business vous assure :

  • Une couverture européenne avec une disponibilité dans 10 pays et plus de villes villes en Europe
  • Une visibilité en temps réel sur vos dépenses de transport et les trajets de vos collaborateurs grâce notre tableau de bord détaillé ;
  • Une politique de voyage respectée avec le paramétrage de restrictions sur les déplacements de vos collaborateurs (adresses, horaires, paiement, pays) ;
  • Une réservation simplifiée avec la possibilité de commander sur l’application ou sur le web en toute simplicité ;
  • Une facturation adaptée pour l’entreprise et la fin des notes de frais pour vos collaborateurs ;
  • La possibilité de commander plusieurs courses simultanément pour vos collaborateurs, invités ou clients ;
  • Une équipe locale dédiée – pour répondre à tous vos besoins de déplacement !

Rendez-vous professionnels, trajets gare/aéroport ou domicile-bureau, la solution FREE NOW for Business a été pensée pour offrir aux gestionnaires de mobilité ainsi qu’à leurs collaborateurs toutes les fonctionnalités pour des trajets professionnels fiables, sécurisés, responsables et garantir la meilleure expérience possible. Aujourd’hui, FREE NOW for Business compte 30 000 entreprises clientes (de l’entrepreneur au grand groupe) dans toute l’Europe.

En savoir plus sur le passage de Kapten Business à FREE NOW for Business : cliquez ici

A propos de FREE NOW for Business

Lever de boucliers contre le chaos des contrôles sanitaires en Europe

Lever de boucliers contre le chaos des contrôles sanitaires en Europe

 Les professionnels du voyage s’insurgent contre les mesures étatiques unilatérales, comme les quarantaines qui empêchent la reprise des déplacements.
Les Echos nous apprennent dans un article publié le vendredi 18 septembre (Lire ici) que vingt associations représentant plus de 5000 entreprises du transport aérien, du tourisme et du voyage d’affaires ont écrit une lettre ouverte à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour réclamer la mise en place d’un protocole de test Covid standard à l’échelle européenne et la fin des mesures de quarantaine qui dissuadent les Européens de se déplacer.
Le journaliste Bruno Trévidic rappelle qu’au début de l’été « la Commission européenne avait pourtant déjà élaboré un ensemble de propositions visant à uniformiser les contrôles sanitaires en Europe. Mais face au rebond de l’épidémie, plusieurs Etats, dont la France, ont imposé des restrictions supplémentaires, parfois totalement discriminatoires ».
Et d’illustrer : « dernier exemple ce vendredi : la décision de la Pologne de suspendre les vols directs au départ de France, sauf ceux de la compagnie polonaise Lot. Ou encore, un peu plus tôt, la décision de l’Irlande de maintenir une quarantaine – qui a conduit Ryanair à réduire de 20 % son offre en octobre ».
Dénonçant ce manque de coordination, les entreprises du voyage réclament ainsi des méthodes plus efficaces, désormais disponibles. « C’est notamment le cas des tests express réalisés au départ ou à l’arrivée dans certains aéroports, qui garantissent une bien meilleure protection contre la circulation du virus que les mesures de quarantaine à l’arrivée ». L’article cite ainsi les aéroports de Rome, Francfort et Londres-Heathrow, capables de donner des résultats de test en quelques minutes.
François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Un Gillespie sinon rien

Un Gillespie sinon rien

La dernière chronique de Scott Gillespie, on l’apprécie, on la déguste, on s’en délecte !
 Ce n’est pas faire preuve de grande originalité que d’affirmer que Scott Gillespie est l’un des meilleurs observateurs du secteur des voyages d’affaires. Sa dernière chronique dans Business Travel News (Lire ici) est une nouvelle fois éclairante.
Son titre est volontairement alarmiste : Echouez à ce test et notre industrie mourra. Diantre, que veut-il dire par là ? De quel test s’agit-il ? Selon lui, « le secteur du voyage d’affaires est confronté à une menace post-covid beaucoup plus importante » que le Covid lui-même qui « avec le temps sera vaincu ». Cette menace c’est le « test du retour sur investissement : ce voyage en vaudra-t-il le coût et le risque ? »
Il explique ainsi que « les risques liés au voyage sont perçus comme très élevés alors que le substitut au voyage, la réunion Zoom, est désormais largement acceptée. Les risques du Covid diminueront mais le coût d’une réunion Zoom restera bon marché ». Or, « ce substitut de voyage peu coûteux et bien accepté rend difficile la justification d’un nombre certain de voyages. Si vous échouez trop souvent à ce test de retour sur investissement, notre industrie va s’éteindre ».
Pour Scott Gillespie, le calcul de ce ROI est la grande difficulté, car trop subjectif. Les responsables des budgets voyages doivent donc avoir les bonnes réponses aux trois questions suivantes :

  • Avons-nous une idée Claire des objectifs, des coûts et des risques de ce voyage ?
  • Est-ce que nos voyageurs et ceux qui les accueillent à destination sont à l’aise avec ce voyage ?
  • Une rencontre en personne augmentera-t-elle nos chances de réussite ?

Scott Gillespie est formel : « c’est autour de cette dernière question que l’ensemble de la chaine de valeur du voyage d’affaires doit se rallier ». Comment : en mettant davantage en avant tous les bénéfices de la rencontre humaine, et en toute sécurité. Il plaide ainsi pour « une grande campagne marketing des fournisseurs du voyage d’affaires qui soit une source d’inspiration, qui brosse un tableau des idées et des émotions fortes qui se dégagent des rencontres physiques, (…) qui mettent en avant notre avantage concurrentiel unique, à savoir le pouvoir de créer des liens précieux ».
Et de finir par un conseil très américain : « mettez l’accent sur la victoire, le travail d’équipe et l’avantage concurrentiel ! »
François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Un vent nouveau souffle sur l’AFTM !

Christophe Chambon

Je ne vous parle ni du Mistral bien connu des Rhônalpins et des provençaux, ni du vent d’Autan qui rendrait fous, paraît-il, nos adhérents Occitans, ni même de la Bise, du Nordet, du Suroît, de la Galerne, du Sirocco ou de la Tramontane…

Je vous parle pourtant bien d’un vent nouveau en provenance des régions, qui se lève progressivement depuis quelques années et qui soufflera très fort sur l’AFTM en 2020.

Quelques mots d’histoire 

Le 26 janvier 2016 naissaient les deux premières délégations régionales en région Nord-Pas-de-Calais (devenue Hauts-de-France) et en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur (devenue Sud-Paca) dans le cadre d’une stratégie de développement en régions clairement affirmée visant à prolonger l’action de l’association au plus près de ses adhérents, où qu’ils soient sur le territoire, à fédérer un tissu local, à animer une communauté professionnelle autour de rendez-vous réguliers et de problématiques partagées.

Les délégations régionales Rhône-Alpes (devenue Auvergne Rhône-Alpes), Occitanie et Grand Ouest ont ensuite progressivement vu le jour jusqu’à la naissance de la petite dernière le 27 novembre 2019 : la délégation Nouvelle Aquitaine lors d’un lancement très remarqué au Grand Hôtel Intercontinental de Bordeaux.

Une volonté et un état d’esprit réaffirmés
Être au plus près de nos adhérents, proposer une offre de service diversifiée basée sur les attentes et les besoins particuliers de tous, dans chacune de nos régions, partager, co-construire, le tout dans un climat de bienveillance, de détente et de convivialité avec un seul mot d’ordre : travailler sérieusement sans se prendre au sérieux !

Une organisation assise sur un casting de choix 

Pour développer sa politique régionale ambitieuse, l’AFTM s’est entourée de professionnels confirmés du travel management, positionnés à la tête des délégations en tant que délégué(e) ou délégué(e) adjoint(e) :
Amandine, Dorothée, Julie & Julie, Nathalie & Nathalie, Marie-Pierre et Loïc animent au quotidien avec passion et détermination leur réseau local d’adhérents.

Et demain ?

Franchir un cap supplémentaire

Comme nous l’apprend le dernier recensement des adhérents de l’AFTM mené par la permanence de l’AFTM, 54 % de nos membres exercent leur activité professionnelle en région, c’est une première historique !

C’est la raison pour laquelle l’AFTM créera sa 7ème délégation régionale en 2020 : la délégation Grand Est basée à Strasbourg !

C’est également pour cela que le Conseil d’Administration, en juin dernier, a souhaité nommer à la vice-présidence de l’association un délégué régional. Il s’agit à la fois de reconnaître le chemin parcouru depuis 4 ans mais également de donner un signal fort et d’impulser une nouvelle dynamique pour l’avenir.

Dès 2020, les délégations régionales monteront en puissance :

  • en augmentant le nombre d’événements organisés annuellement (4 à 6 par délégations) ;
  • en diversifiant ces événements (thématiques, formats, lieux, modes d’animation…) ;
  • en s’implantant durablement comme des acteurs incontournables des écosystèmes locaux en instaurant ou en fidélisant les relations avec les chambres consulaires, les associations professionnelles locales ou encore les organisations interprofessionnelles regroupant les PME/PMI…

En 2020, l’AFTM sera donc plus que jamais proche du terrain et de ses adhérents et les associera aux réflexions sur les perspectives d’évolutions des actions de l’association en faisant sienne la citation de Samuel Beckett « réfléchir, c’est-à-dire écouter plus fort ».

 

Christophe CHAMBON

Vice-président de l’AFTM

Délégué Régional – région SUD

Les délégations régionales à l’épreuve du “rétroviseur” de l’AFTM

À l’aube de 2020, les délégués régionaux reviennent sur les temps forts qu’ils ont vécu et partagent avec nous leurs ambitions pour l’année 2020.

En 2019, l’AFTM a renforcé  sa présence en région et s’est dotée de délégations construites, dirigées par des bénévoles aussi investis qu’enthousiastes. Retour sur leurs expériences et présentations de leurs objectifs pour 2020 !

 

2019, naissance de la délégation Nouvelle-Aquitaine

Par Marie-Pierre Berruyer, Déléguée Régionale
Travel Manager chez Safran Helicopter Engines, Pau

La création de la délégation AFTM Nouvelle-Aquitaine a été officialisée le 7 novembre dernier à l’Intercontinental de Bordeaux, à l’occasion d’un superbe événement.

Un public nombreux et enthousiaste s’était réuni pour débattre de sujets complexes et importants pour notre région comme le programme hébergement et la gestion des solutions complémentaires à l’hôtellerie. Le débat a été suivi d’une table ronde sur le rail en France.
En 2020, nous espérons que de nombreux travel managers, acheteurs et assistants voyage de PME et PMI rejoindront cette délégation, pour dynamiser et animer les échanges autour de nombreuses problématiques liées aux déplacements en région, bien plus complexes qu’au départ des grandes villes.

Je souhaite que cette délégation soit un lieu d’échange et d’entraide dans une ambiance conviviale. Un travail en commun nous permettra d’avoir plus d’influence auprès de nos partenaires et fournisseurs.

Le prochain évènement sur le Yield Management, aura lieu à le 13 février à l’hôtel Parc Beaumont 5* à Pau. De nombreux autres sujets viendront au cours de l’année : le support des fournisseurs en régions, la location de voiture, les politiques de voyages, etc…

 

La délégation Nord, retour sur une année riche en rencontres

Par Dorothée Godin, Déléguée Régionale
Travel Manager chez Promod, Lille

Les adhérents des Hauts-de-France se sont rencontrés lors de 4 événements en 2019.
Ils ont été reçus le 7 mars dans l’entreprise de notre Déléguée Régionale, Dorothée Godin, pour participer ensemble à un webinar (Concur) sur les gestions des frais. Ce fût un après-midi riche en échanges, nous avons en effet partagé nos bonnes pratiques, discuté de nos supports de communication pour nos voyageurs et parlé des problématiques du moment.
Nous nous sommes revus le 30 avril pour aborder le sujet des cartes logées et des autres moyens de paiements (Airplus), puis le 18 juin pour le multiplexe SNCF qui nous a permis de comprendre la nouvelle tarification ainsi que le fonctionnement d’un centre opérationnel et enfin le 7 novembre avec comme thème de rencontre : « quelle réponse à apporter à nos voyageurs quand ils disent à leur Travel Manager, j’ai trouvé moins cher ailleurs ? ». (KDS, Accorhotel, BCD Travel, Qatar Airways, AirB&B, Areka consulting).

Le salon ITFM début octobre, où l’ensemble des adhérents des Hauts-de-France étaient présents, fut un autre temps fort de l’année : des ateliers AFTM, à la soirée jusqu’au petit déjeuner à l’hôtel, nous avons partagé, échangé durant quatre jours, tout cela dans la bonne humeur !

Quid de 2020 ? 4 dates sont déjà prévues : 14/01 – 28/04 – 23/06 – 19/11, sans compter les inaugurations de nos hôtels partenaires qui nous permettrons de nous voir sans thème précis.

Les Sujets ? ils seront nombreux !!! RSE, NDC, MOBILITE, MICE, COMMUNIQUER… Nous les dévoilerons au fur et à mesure sur notre site internet 😉

 

Événement : la délégation Sud joue sur les formats !

Par Christophe Chambon, Délégué Régional, Marseille
Délégué Régional Sud-Est à l’IRD
&
Par Julie Panadero, Déléguée Régionale adjointe, Aix-en-Provence
Formatrice – Expertise Business Travel – ESCAET

L’année 2019 fût rythmée par 4 événements. Nous avons oeuvré pour leur organisation avec la permanence AFTM. Nous nous sommes rencontrés à Marseille mais également à Nice avec un atelier sur le pilotage de la dépense aérienne et la visite d’un A380, en partenariat avec Emirates. Au mois de juin, la convention régionale a permis un échange dense et nourri d’expertises sur les enjeux du parcours voyageurs entre les adhérents de la région SUD/PACA et des autres régions mais également les partenaires de l’AFTM. Les adhérents régionaux ont ensuite été invités à découvrir les actions menées dans la gare d’Aix-en-Provence TGV en termes d’innovation dans le parcours du voyageur d’affaires, mais également à visiter le poste de Régulation Centralisé Informatisé. La rentrée a été marquée par un riche débat sur la thématique “J’ai trouvé moins cher ailleurs”. Réelle problématique du quotidien de nos adhérents, cet afterwork a permis d’identifier des leviers pour combattre ces pratiques

Pour 2020, nous avons souhaité un agenda plus rythmé. Comme pour 2019, nous allons varier les formats et les lieux de rencontres. Nous avons mené une enquête auprès de nos adhérents pour que ces événements soient au plus près de leurs besoins.

La convention régionale a été le temps fort de l’année. Nos adhérents étaient ravis d’avoir eu l’occasion d’échanger avec des travel managers et acheteurs d’autres régions. Nous espérons pouvoir renouveler rapidement cette journée dans la nôtre.

 

La délégation Occitanie résolument tournée vers 2020

Par Nathalie Laurent, Déléguée Régionale
Travel Manager chez Safran, Toulouse

Trois événements sont venus animer la deuxième moitié de l’année 2019, celui de décembre, sur la RSE est celui qui a rencontré le plus de succès et d’enthousiasme auprès des adhérents de la délégation Occitanie.

L’animation des événements à Toulouse pour 2020 sera effectuée par Etienne Penaud, du cabinet Atlans. Le 14 janvier, nous travaillerons sur la gestion du premier au dernier kilomètre, le 28 avril, nous répondrons à la question : comment construire son appel d’offres ? Le 2 juillet nous traiterons un thème mixant le reporting et l’hôtellerie, notamment les critères à définir pour faire un choix, le bon choix. Le 3 septembre, nous réfléchirons à l’autopartage et à toutes ses conséquences.
Nous espérons répondre ainsi aux attentes de professionnels de la région et voir un accroissement important des adhésions en 2020 !
 

La délégation ARA, au coeur de la grande famille du travel management

Par Amadine Roset, Déléguée Régionale, Lyon
Travel manager | Category Manager Travel & HR chez Arkema
&
Par Fabrice Fourcot, Délégué Régional adjoint, Lyon
Vice President Human Ressources Admininistration and reporting, Groupe SEB

Retour sur cette année une fois de plus riche en rencontres et en échanges dans notre belle région Auvergne-Rhône-Alpes.
Il faut dire qu’elle avait démarré fort avec le premier multiplex regroupant 5 régions sur une journée. La matinée nous étions tous connectés, digne d’un plateau TV un soir de match avec : Lille, Marseille, Toulouse, Nantes & Lyon en simultanés !
Un moment consacré à des enjeux d’actualités : modèle de tarification, digitalisation, ouverture prochaine du marché ferroviaire à la concurrence, etc. L’après-midi, chaque région organisa un atelier dédié, nous eûmes le privilège de visiter le Technicentre TGV de Lyon : casques, coques de sécu et gilets fluos enfilés, nous étions parés à visiter le cœur de la maintenance de nos lignes à grande vitesse, un parcours riche en découvertes !

Il est vrai que nous ne faisons pas un métier facile, parfois les négociations internes sont plus rudes qu’avec nos prestataires car entre direction et voyageurs se trouvent nos travel managers qui ont tous entendu (plusieurs fois !) la fameuse remarque : « j’ai trouvé moins cher ailleurs » ! Grâce au cabinet Areka qui est intervenu sur cet Atelier, à VoyagExpert qui nous a expliqué le yield aérien avec beaucoup d’humour, à Axys Odyssey qui nous a éclairé sur la place et la valeur ajoutée de nos métiers au sein de nos organisations ainsi que sur la conduite du changement, à Egencia qui nous a permis de réfléchir sur la data et à Airplus sur les moyens de paiements… nous avons fait un tour d’horizon du travel management et des problématiques rencontrées afin d’être parés à affronter toute remise en cause de nos choix stratégiques !
Nous avons pu, grâce à nos partenaires experts et au dynamisme de nos adhérents, repartir avec quelques idées à déployer et le sentiment de ne pas être seuls ! C’est cela être adhérent AFTM, c’est appartenir à la grande famille du travel management, se retrouver sur des problématiques communes et s’enrichir des expériences de nos pairs.

Restructuration réussie pour la délégation du Grand Ouest !

Par Julie Tocqueville, Déléguée Régionale, Rouen
Corporate Travel Manager chez REVIMA
&
Par Loïc Simon, Délégué Régional adjoint, Rouen
Responsable Travel et contrats VTC chez TF1
&
Par Nathalie Motte, Déléguée Régionale adjointe, Nantes
Chargée de voyages chez ARPÈGE SAS

Le 3 Septembre 2019, s’est tenu le premier afterwork de la délégation Grand Ouest, fraîchement restructurée : « Les coulisses de la tarification des hébergements et des compagnies aériennes ».

Le 26 novembre 2019, en direct de l’aéroport de Nantes, nous avons été reçus par EasyJet qui nous a présenté les impacts liés à l’ouverture d’une base aérienne régionale pour les entreprises locales et leurs déplacements professionnels.

Ces deux rencontres ont rassemblé une vingtaine de personnes, pour des moments très agréables et conviviaux.

Des sourires, des échanges, des rencontres, de l’apprentissage… c’est tout cela l’AFTM !!

Cette phrase s’est parfaitement confirmée dans le cadre de l’IFTM et notamment à la soirée AFTM, où les trois membres de la délégation se sont rencontrés et ont pu faire véritablement connaissance. Ce fut une belle rencontre, pleine de complicité et d’une forte envie commune d’animer cette grande délégation de l’ouest.

Pas moins de six événements sont déjà programmés pour 2020 ! Ils seront proposés sous forme d’afterworks afin de permettre au plus grand nombre d’adhérents d’être présents. Ces riches moments permettront à nos interlocuteurs locaux de mieux se connaître et d’affiner au fur et à mesure les thèmes que nous aborderons.

Edito mensuel de Michel Dieleman : Aérien et CO2, faisons le point !

Des mouvements écologiques se montrent très virulents contre l’avion. Je vous propose ici de prendre un peu de recul sur le débat actuel et de voir la situation dans sa globalité.

Vous avez sans doute entendu parler du flygskam, ce mot suédois que l’on traduit par “la honte de voler”. Lancé en avril dernier par 250 personnalités suédoises du cinéma, celui-ci fait des émules et est rejoint par de plus en plus de suédois. Les personnes qui adhèrent à ce mouvement s’engagent, pour des raisons écologiques, à ne plus prendre l’avion. Ce serment révèle un mouvement plus vaste qui tend à pointer du doigt toute l’industrie aérienne comme étant une grande source de pollution, notamment à cause des rejets de Co2 dans l’atmosphère. Prenons un peu de hauteur et faisons le point.

En 2016, selon CITEPA, l’aérien représentait 0,8 % des émissions françaises de gaz à effet de serre alors que les voitures en représentent 16 %. À lui seul, ce chiffre devrait faire taire tous les détracteurs de l’avion. Il faut néanmoins le contrebalancer par le nombre d’utilisateurs de chacun de ces modes de transports : en France, toujours en 2016, 79,1% de la population utilisait une voiture particulière et seulement 1,5% le transport aérien. A capacité de transport égal, l’avion pollue donc 2,5 fois plus que la voiture…

Forts de ces chiffres et face à une volonté farouche de mettre en avant la pollution du transport aérien largement supérieure à celle du train (60 fois plus selon CITEPA), plusieurs députés français proposent la possibilité de fermer certains aéroports et de supprimer des vols internes lorsque des alternatives raisonnables existent par le train. Le bulletin statistique du trafic aérien commercial révèle qu’en 2018, 26,8 millions de passagers ont été transportés entre deux villes de métropoles dont 26,6 au sein des 149 liaisons principales. Sachant que la majorité de ces vols pourraient être remplacés par des trajets en train de moins de 5 heures, cela révèle une utilisation excessive de l’avion en France. Le gouvernement se refuse néanmoins de passer par une interdiction et les annonces se multiplient, créant une cacophonie d’où il est compliqué de savoir quoi penser ni comment se positionner.

Le transport aérien est un incroyable vecteur de lien, d’ouverture et d’échanges pour les citoyens du monde. En agissant de façon responsable, nous répondons aux attentes de nos clients, de nos salariés, de toutes nos parties prenantes.

Benjamin Smith, DG d’Air France KLM.

Face à toutes ces attaques, l’industrie aérienne se défend et utilise de solides arguments pour plaider sa cause. Elle est par exemple le seul secteur à avoir pris un engagement global qui ne concerne pas seulement sa consommation de kérosène mais l’ensemble de l’industrie. Elles se sont ainsi engagées à neutraliser leurs émissions de Co2 à partir de 2020 puis à les diminuer de moitié d’ici à 2050 par rapport à 2005. Alexandre Juniac, le directeur général de IATA dénonce les gouvernements qui taxent de façon punitive mais ne soutiennent pas la recherche mise en œuvre par les compagnies.

Pour limiter leur impact environnemental, les compagnies aériennes optent pour des technologies innovantes, une optimisation des opérations aériennes, une évolution des infrastructures, la création et l’utilisation de carburants durables, une implication de tous les collaborateurs et une compensation carbone qui passe par des taxes via les EU-ETS mais aussi par des programmes de reforestations et des actions RSE.

Pour exemple, et cette compagnie n’est pas la seule à œuvrer en ce sens, Air France travaille ainsi pour proposer des alternatives durables à ses voyageurs. La société se place dans une ambition de performance globale et de contribution aux objectifs de développement durable mondiaux. Ce programme passe par trois axes : limiter et compenser ses émissions de Co2, réduire, recycler et valoriser ses déchets et modérer l’empreinte sonore de ses activités. En suivant cette philosophie, Air France a réduit en 2018 de 21,6 % ses émissions de Co2 par rapport à 2011.

En résumé, Il est important de prendre aussi en compte dans le calcul de l’empreinte écologique d’un trajet, le poids des infrastructures, pas seulement le trajet en lui-même. Selon les trajets, l’avion ne sera alors pas toujours le moyen de transport le plus polluant.

Quelques chiffres pour se détendre après ces réflexions, ô combien sérieuses !

  • Les sites de streaming génèrent plus de Co2 que l’industrie aérienne !
  • 1 kg de boeuf provenant du Brésil génère autant de Co2 qu’un vol Paris > Athènes !
  • Si les 4 milliards de passagers annuels réduisent leurs bagages de 100 g chacun, 1000 vols Paris > Bombay seront économisés !

Michel Dieleman,

Président de l’AFTM

Atelier des connaissances Amadeus : des outils derrière le voyage

Un voyage vivant dans les coulisses techno du voyage d’affaires :

c’est ce que proposait Amadeus le 19 juin au matin aux participants de son Atelier des connaissances.

Pierre le quinqua habitué au coup de fil à l’agence, Max le trentenaire qui se débrouille tout seul comme un grand sur son outil de réservation et Julia la voyageuse millenial ultra-connectée : voici les trois idéaux-types qu’avait choisi Amadeus pour nous parler de voyage d’affaires le 19 juin dans le cadre fort avenant de Comet Meetings (Paris 17e).

Un jeu de rôles nécessaire pour explorer dans toute sa complexité la batterie d’outils et de canaux par lesquels passent aujourd’hui une demande de réservation, un placement dans l’avion, la recherche d’un tranfert ou encore la captation d’une note de frais.

En cette période de baccalauréat, cette première partie offrait une -toujours utile- séance de révision aux travel managers et acheteurs présents, avant une seconde partie consacrée plus particulièrement à l’évolution de la distribution et à l’émergence de la NDC. L’occasion, pour Amadeus, de faire le point sur le développement de la fameuse Convergence Platform qu’elle compte lancer en 2019, et dont l’objectif  sera de rassembler sur un même outil les offres « traditionnelles » GDS, les offres low cost mais aussi les offres NDC.

Cette nouvelle plateforme permettra-t-elle d’éviter aux voyageurs et aux gestionnaires des déplacements de s’éparpiller entre les innombrables sites de fournisseurs aux offres rutilantes ?